La FNATH est partenaire du salon Hello Handicap

La prochaine édition du Salon 100% en ligne Hello Handicap,en partenariat avec l’Agefiph, Pole Emploi et l’Apec, aura lieu du 22 au 25 octobre.

110 entreprises y proposent plus de 20.000 offres à pourvoir dans toute la France.

En CDI, CDD, Alternance, Stages, … des milliers d’opportunités à saisir pour tous les profils.

Comment ça marche ?

Hello Handicap est une version 100% digitale des salons de l’emploi traditionnels.

Plus besoin de se déplacer, pour y participer et passer des entretiens, il suffit de créer gratuitement un compte sur le site : Hello-handicap.fr

Le ou la candidat(e) RQTH* peut d’ores et déjà déposer son CV jusqu’au 22 octobre, jour de l’ouverture du salon.

Il ou elle postule aux offres de son choix et est sélectionné(e) par les recruteurs pour des entretiens qui se déroulent sur rendez-vous : par téléphone ou par tchat.

*Reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé.

Un soutien présidentiel

Hello Handicap est placé sous le haut patronage de Emmanuel MACRON, Président de la République et sous les parrainages de Muriel PENICAUD, Ministre du Travail et de Sophie CLUZEL, Secrétaire d’Etat auprès du Premier Ministre, chargée des Personnes handicapées.

C’est leur première participation, bienvenue à :

Adecco – Appart’City – Brinks – CAF des Hauts-de-Seine – Cdiscount – Chancerelle – CGI – Crédit Agricole – Dimension Data France, filiale NTT – Eiffage – Expleo – Groupe Crédit Mutuel – Groupe Elsan – Groupe SMA – Hopscotch Groupe – Ikea – Koné – Métro – Nexity – Norauto – Novelty – Onepoint – Pénélope – Randstad – Sogetrel

Et toujours au RDV :

Accenture – Accor – AKKA – Alstom – Amazon – APEC – Arkema – Bayer – BNP Paribas – Bouygues Energies et Services – Bouygues Telecom – Bureau Veritas – Burger King – Capgemini – Cegid – Clinéa/Orpéa – Dassault Systèmes – Darty – Econocom – Edenred – EDF – Enedis – Engie Ineo – EY – FNAC – GE Healthcare – GFI Informatique – Groupe Afnor – Groupe Alpha – Groupe Barrière – Groupe Beaumanoir – Groupe Bel – Groupe LVMH – Groupe Pierre & Vacances – Center Parcs – Groupe SEB – Hermès – ING Direct – Keolis – Klésia – Korian – Leon Grosse – Les Petits Chaperons Rouges – LFDJ – Marionnaud – MGEN – Michelin – Néo Soft – Nestlé – Nocibé – Orange – Orano – Paris 2024 – PETIT Vinci Construction – Pomona – Quick – Renault Group – Renault Retail – RTE – Scalian – Schneider Electric – SFR – Siaci Saint Honoré – SNCF – Société Générale – Sopra Steria – Umanis – Unifaf – Valeo – Viapost – Wavestone – Zara

Partenaires officiels :

Agefiph – APEC – APF France Handicap – Clubhouse France – Droit comme un H – FNATH – Handicap.fr – Hangagés – La Fagerh – Pole Emploi – UNAFAM – Radio Vivre FM

Place à l’entreprise inclusive !

Faciliter l’accès à l’emploi pour les personnes handicapées.

C’est l’une des principales dispositions prévues par la Loi « Avenir Professionnel » : à partir de 2020, seul l’emploi direct des travailleurs handicapés entrera en compte pour le calcul du taux d’emploi.

Les entreprises de plus de 20 salariés devront toujours compter au moins 6% de salariés reconnus handicapées dans leur effectif.

Pour attirer de nouveaux talents ayant une RQTH, les employeurs vont concentrer leurs efforts sur le recrutement. 87 entreprises de tous secteurs d’activités sont ainsi inscrites pour participer à la prochaine édition de Hello handicap, le plus grand salon de recrutement 100% en ligne dédié à l’emploi des travailleurs handicapés. Créé en 2011 par Handicap.fr, le salon Hello handicap a été pensé pour faciliter la rencontre et permettre de se concentrer sur l’essentiel : les compétences et la motivation. En partenariat avec l’Agefiph, l’Apec et Pôle Emploi, du 16 au 19 avril prochains, des milliers de recruteurs passeront des entretiens, sans se déplacer, par téléphone ou par chat avec des candidats en situation de handicap présélectionnés de France entière.

Coté RECRUTEUR

Les candidatures sont classées par ordre de correspondance avec les critères de l’offre. Il peut aussi élargir son champ de recherche en consultant les candidatures proches de ses attentes. Il prend des décisions de recrutement optimales et enclenche les premiers entretiens par téléphone ou chat pendant le salon, avant de décider d’une rencontre physique.

Coté CANDIDAT

Le ou la candidat(e) RQTH* peut d’ores et déjà déposer son CV jusqu’au 15 avril, jour de l’ouverture du salon. Hello-Handicap présente ensuite instantanément 100 % de correspondance entre ses compétences et les offres qui sont en ligne. Ces recommandations automatisées lui permettent de cibler en un instant les offres les plus pertinentes. Il ou elle postule aux offres de son choix et est sélectionné(e) par les recruteurs pour des entretiens qui se déroulent sur rendez-vous : par téléphone ou par tchat.

Simplification de la procédure de RQTH

Un décret du 5 octobre 2018 est venu simplifier la procédure de reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé et améliore l’information des bénéficiaires de l’obligation d’emploi.

Avant la publication de ce décret, les personnes qui souhaitaient bénéficier de la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé devaient constituer un dossier auprès des Maisons Départementales des Personnes Handicapées (MDPH).

Dorénavant, certaines catégories de personnes n’auront plus à accomplir cette formalité.

  • les bénéficiaires les victimes d’accidents du travail ou de maladies professionnelles,
  • les bénéficiaires d’une pension d’invalidité,
  • certains emplois réservés,
  • les titulaires d’une allocation ou d’une rente d’invalidité dans le cadre de la protection sociale des sapeurs-pompiers.

Ces personnes se verront délivrer automatiquement une attestation par l’organisme auquel ils sont rattachés (ex : CPAM ; MSA etc.) et bénéficieront d’une meilleure information de leurs droits.

L’attestation sera adressée lors de l’envoi de la notification d’attribution de pension d’invalidité  ou de la rente AT/MP.

Les décisions des MDPH d’attribution de la carte « mobilité inclusion » portant la mention « invalidité » et celles concernant  l’Allocation Adulte Handicapée indiqueront à leurs titulaires qu’ils sont bénéficiaires de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés pour l’insertion professionnelle sans qu’aucune démarche particulière ne soit à accomplir auprès des MDPH.

Par ailleurs, les effets de la RQTH seront prorogés pour toute demande de renouvellement déposée à la MDPH avant l’échéance dans l’attente de la nouvelle décision.

Semaine Européenne pour l’Emploi des Personnes Handicapées

La nouvelle édition de la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées qui se tient du 19 au 25 novembre 2018 a pour thème principal Les femmes en situation de handicap et l’emploi.

Les femmes en situation de handicap et l’emploi. C’est la thématique développée cette année par la nouvelle édition de la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées. Elle se tient du 19 au 25 novembre 2018.

Cette manifestation propose également un point d’étape sur l’emploi accompagné, près d’un an après les premiers appels d’offre. L’alternance et l’apprentissage seront par ailleurs abordés. 150 actions dans toute la France, seront organisées ou coorganisées par L’adapt, ses salariés et ses bénévoles, auprès de recruteurs ou à destination du grand public.

Avec un taux de chômage largement supérieur à celui du reste de la population et une exclusion parfois rapide du monde de l’entreprise dès lors que des problèmes de santé ou un handicap interviennent, les travailleurs handicapés se sentent souvent isolés et démunis dans leur recherche. Ils sont confrontés à un véritable parcours du combattant ou alors un labyrinthe dont il semble difficile de sortir, sans connaître avec précision les contours, les acteurs et les aides sur lesquels ils peuvent s’appuyer. Telle est l’ambition de la FNATH et de ce guide, réalisé avec le soutien financier de l’Agefiph.

10 000 parcours de victimes du travail

La FNATH a présenté les enseignements de son Observatoire des parcours professionnels des victimes du travail et personnes handicapées, mis en place dans la cadre d’une convention avec l’Agefiph, le lundi 5 novembre au Palais du Luxembourg dans le cadre d’un colloque organisé en partenariat avec le sénateur des Deux-Sèvres, Philippe Mouiller, et en présence de Sophie Cluzel, secrétaire d’Etat aux personnes handicapées.

L’observatoire des parcours professionnels : 10 000 parcours

Depuis 3 ans, dans le cadre d’une convention nationale signée entre la FNATH et l’Agefiph, la FNATH a accompagné 10 000 travailleurs accidentés, malades et handicapés, principalement des victimes du travail, dans ses permanences juridiques, et elle a pu échanger avec près de 15000 personnes dans le cadre de 400 réunions d’informations en proximité. Tous ces parcours ont alimenté l’observatoire mis en place par la FNATH dans le cadre d’une convention avec l’Agefiph.

Les principaux enseignements disponibles

Le manque d’informations sur les droits

S’il fallait retenir un point commun de l’ensemble des parcours, c’est bien celui de l’absence d’informations globales et la méconnaissance du rôle des différents acteurs.

De manière générale, les personnes font part des difficultés dans les démarches entreprises et l’absence d’accompagnement efficient. Les démarches semblent difficiles et les réponses trop longues, ce qui entraîne un sentiment d’injustice et une démotivation, préjudiciables au retour à l’emploi.

Un moment de rupture : les arrêts de travail de longue durée

Faute d’une bonne information et d’un accompagnement pendant l’arrêt de travail, les personnes en arrêt de longue durée se retrouvent au bout de plusieurs mois sans avoir anticipé leur reprise de travail. La visite de pré-reprise, trop méconnue, se traduit souvent pour les personnes que nous avons accompagnées, par le couperet du licenciement pour inaptitude. Cela est d’autant plus préjudiciable que les clés d’un maintien en emploi réussi sont, d’une part, la précocité des démarches, et, d’autre part un accompagnement dans la durée.

Les difficiles parcours du maintien en emploi

Le maintien en emploi est rendu d’autant plus difficile pour les travailleurs handicapés qui cumulent d’autres difficultés : les barrières liées à la langue, l’absence de permis de conduire ou de véhicule aménagé, des statuts particuliers, l’âge…

La reprise à temps plein est souvent très compliquée pour les personnes en raison de leur état de santé ou de leur handicap. Si certaines personnes recherchent et sont demandeurs d’une reprise à temps partiel, la perte de revenus engendrée rend cette solution souvent difficile. La fin du temps partiel thérapeutique n’est pas toujours facile à gérer, le retour à un temps plein n’étant pas toujours possible.

La formation est un outil incontournable du maintien, mais reste difficile à mobiliser. Dans ce domaine, ce qui ressort en premier lieu c’est l’opacité du système et la difficulté pour les personnes concernées de s’y retrouver.

L’accompagnement médical en question

Le rôle du médecin du travail et du service de santé au travail est l’objet de beaucoup de questions. La principale difficulté réside dans l’absence de suivi des préconisations du médecin du travail, dès le départ ou dans la durée.

Par ailleurs, les médecins conseils des CPAM font l’objet de nombreux retours négatifs : il leur est souvent reproché de décider de l’avenir des personnes, sans pour autant les examiner de manière approfondie.

La FNATH formule 25 propositions

Au total, la FNATH formule 25 propositions, dont un certain nombre reprises du rapport de l’IGAS sur la prévention de la désinsertion professionnelle.

Les autres propositions visent notamment à mieux prévenir la pénibilité au travail, à renforcer l’accompagnement des victimes du travail, à créer un véritable statut pour les travailleurs à domicile, à renforcer l’accompagnement des travailleurs seniors ou bien encore à ouvrir un chantier sur le rôle et le contrôle des médecins conseil des CPAM.

Elle souhaite que toutes ces propositions puissent enrichir les concertations en cours sur la réforme de l’offre des services pour les travailleurs handicapés, mais aussi pour la santé au travail.

Des actions déjà menées : la mise en ligne d’une plateforme juridique d’accès aux droits

Afin de répondre aux besoins d’accès aux droits des victimes du travail, des personnes malades et handicapées, la FNATH a lancé une plateforme juridique d’accès aux droits, disponible sur son site internet : www.fnath.org

Les meilleurs juristes du réseau de la FNATH sont ainsi mobilisés pour répondre à toutes les demandes dans les meilleurs délais. Des courriers-types sont également disponibles pour faciliter les démarches des personnes.

La FNATH vous invite

La FNATH, avec le soutien du sénateur des Deux-Sèvres Philippe Mouiller,  organise un colloque le lundi 5 novembre prochain au Sénat, en présence de Sophie Cluzel, secrétaire d’Etat aux personnes handicapées.

Les résultats de l’observatoire

A cette occasion, Arnaud de Broca, secrétaire général de la FNATH  présentera les conclusions de son observatoire des parcours professionnels, issues de plusieurs mois d’actions sur le terrain et d’accompagnement des travailleurs handicapés. Ces conclusions porteront sur l’accès aux droits, le nombre important d’acteurs qui rend illisible l’offre de services, le rôle parfois incompris des services de santé au travail…

Une table ronde

Une table ronde sera organisée avec des représentants associatifs (Véronique Bustreel de APF France Handicap), syndicaux (Hervé Garnier, CFDT; Anne Balthazar, FO et Bernard Salengro, CFE-CGC, Christian Polton, Medef), la présidente de l’Agefiph (Malika Bouchehaoui) et une représentante de Cap Emploi Haute-Garonne (Sophie Crabette), afin de débattre des enjeux actuels et des deux concertations en cours: d’une part, sur l’offre de services pour favoriser l’accès à l’emploi des travailleurs handicapés et d’autre part sur la santé au travail.

Patrick Gohet, adjoint au Défenseur des droits, viendra clore la demi-journée.

Pour s’inscrire

Le colloque se déroule salle Clémenceau au Palais du Luxembourg. Accueil dès 13h15. Le colloque se déroule de 14h à 17h.

Téléchargez le programme complet.

Pour les personnes intéressées, l’inscription préalable est gratuite mais obligatoire en remplissant le formulaire ci-dessous :

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Un plan contre la pauvreté

Initialement prévue pour le mois de juillet, l’annonce de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté a été faite par le Président de la République le 13 septembre, sous le slogan « Faire plus pour ceux qui ont moins ».

Dans son intervention, Emmanuel Macron part du constat  notamment que « notre modèle, malgré tout, s’il corrige un peu, s’il permet de mieux vivre et mieux que dans de nombreux autres pays, ne permet pas suffisamment de prévenir la pauvreté, ne permet pas suffisamment d’éradiquer la pauvreté ». Les enjeux de cette stratégie sont notamment de lutter contre la pauvreté et ses impacts dès le plus jeune âge (avec par exemple les repas à 1 euro), mais aussi et surtout de ramener les personnes vers l’activité. Le retour à l’emploi constitue de fait pour toutes les personnes la possibilité d’une insertion durable dans la société.

Revenu universel d’activité

Dans cette droite ligne, le président de la République propose ainsi la création du Revenu universel d’activité,  dont les contours restent à ce stade très flous. Si ce n’est l’objectif de simplifier l’accès aux droits en fusionnant un certain nombre d’aides et allocations. A ce stade, rien n’exclut que l’allocation aux adultes handicapés ne fera pas partie de ces allocations, bien qu’elle concerne le plus souvent des personnes qui sont dans l’incapacité de travailler. La logique même de ce revenu universel, très éloignée de celle qui sous-tendait celui proposé par Benoît Hamon, lors de la dernière campagne pour les élections présidentielles.

Par ailleurs, la revalorisation de la prime d’activité et de l’allocation aux adultes handicapés a été confirmée. Bien qu’importante, l’augmentation de l’AAH ne permettra pas à ses bénéficiaires de sortir du seuil de pauvreté.

Des réactions mitigées

Les réactions ont été pour le moins mitigées. Si les principales associations de lutte contre la pauvreté soulignent « discours respectueux » pour la Fondation Abbé Pierre  ou « une prise de conscience de la situation de la pauvreté en France » pour Emmaüs France , elles soulignent également des manques ou le fait que la mise en œuvre de ce plan va prendre du temps. « Or les pauvres n’ont pas ce temps », a souligné l’Armée du Salut.

Loi Elan. Régression sociale en marche !

Les députés ont adopté vendredi dernier, dans le cadre de la loi sur le logement ELAN, une disposition qui suscite la colère des personnes handicapées et des associations. Seuls 10% des logements neufs devront être accessibles aux personnes handicapées.

La FNATH a été l’une des premières à réagir sur France Info dès le lendemain de l’adoption de cet article 18 de ce projet de loi.  Mais les réactions ont été nombreuses sur les réseaux sociaux. Depuis plusieurs mois, les associations se mobilisent contre cette disposition. Le Défenseur des Droits a également estimé que « les conditions de mise en accessibilité des immeubles d’habitation et des logements, prévues à l’article 18 par le projet de loi Elan, sont de nature à porter atteinte aux droits des personnes handicapées énoncés dans les engagements internationaux souscrits par la France ».

Que prévoit l’article 18 ?

L’article 18 du projet de loi Elan fait passer de 100% à 10% la part de logements dits « accessibles » dans les immeubles collectifs neufs, c’est-à-dire respectant l’intégralité des normes handicapées. Quid des 90% autres logements ? Ils devront être évolutifs. Toutefois, un amendement du Gouvernement prévoit que même dans ces logements évolutifs, le séjour et les WC devront être accessibles, afin de permettre aux personnes handicapées d’y accéder et donc de se rendre dans leurs familles ou chez leurs amis. Un décret devra définir cette notion extrêmement floue.

Une régression sociale

Toutes les associations considèrent qu’il s’agit d’une forte régression sociale, d’un recul historique dans la politique du handicap. Cette mesure constitue sans nul doute la fin de la promesse d’Emmanuel Macron de faire du handicap une priorité. Les questions pratiques sont en effet nombreuses : qui va financer les travaux d’adaptation ? Qui peut croire qu’un propriétaire préférera louer son logement à un locataire qui a besoin de faire des travaux ? Où seront placés les logements accessibles ?

Pour toutes ces raisons, les associations demandent le retrait de cet article 18.

Retrouvez les prises de position de la FNATH sur ce sujet :