Alors que l’on ne peut que se réjouir de la diminution du nombre des  accidentés de la route, la FNATH, association des accidentés de la vie, s’inquiète du nombre croissant de blessés au cours des manifestations issues de la crise sociale qui affecte notre pays depuis déjà plusieurs semaines, et du sort qui leur sera réservé.

 On parle de près de 3000 blessés, parfois très gravement.

S’agissant des forces de l’ordre, des journalistes, des commerçants ou salariés sur leur lieu de travail, ce sont des accidents du travail qu’il faut instruire, avec des reconnaissances et indemnisations différentes et, en tout cas, difficilement complètes en raison des régimes d’affiliation.

S’agissant des passants ou des manifestants blessés, il n’est pas simple de s’y retrouver. Les assureurs refusent parfois d’indemniser, arguant d’un prétendu caractère illégal lié aux circonstances.

Certains blessés projettent d’engager la responsabilité de l’Etat dénonçant la disproportion des moyens employés par les forces de l’ordre. Procédures longues et aléatoires.

Quoi qu’il en soit, se pose rapidement la question de l’après. Les personnes gravement blessés lors des manifestations qui garderont des séquelles, risquent d’être confrontées, en plus, à une incapacité de reprendre normalement leurs activités professionnelles.

Prise en charge et couverture sociale, assurantielle, conséquences professionnelles, autant de questions sur lesquelles la FNATH peut apporter  des réponses grâce à son expertise historique.

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