A l’occasion du Grand débat national, la FNATH association des accidentés de la vie, vous offre un espace de liberté afin de présenter vos revendications.
Vous trouverez ci-dessous le formulaire vous permettant de rédiger vos doléances
Accéder directement au formulaire.
« En tant que personne handicapée, doit-on obligatoirement vivre sous le seuil de pauvreté ? »
« Je suis actuellement bénéficiaire de l’AAH et je perçois également une rente trimestrielle pour maladie professionnelle. Chaque mois, mon allocation adulte handicapée est diminuée d’un tiers de ma rente. Ceci est particulièrement injuste car, la plupart du temps, la rente, qui, pour nous, représente une réparation, ne correspond en réalité en rien à notre pathologie ! »
« Retraités, invalides pensionnés… avec un revenu très bas : avec ça il faut payer loyer, gaz, assurances, électricité, habits. Il faut manger ! Il faut bien vivre. Mission impossible ! »,
« Le montant de ma pension d’invalidité n’a presque pas évolué depuis plusieurs années. On ne peut pas vivre décemment avec 700 euros par mois. Je souhaite une revalorisation de la pension d’invalidité ! »
« J’ai été licencié en maladie professionnelle pour trouble muscullo-squelettique, en 2016, et mis en invalidité catégorie 2 avec 50 % de mon salaire. Je gagne 1 070 euros et paye 460 euros de loyer. Je suis seul et ne bénéficie d’aucune aide de la Caf… »
« Les rentes AT et MP sont considérées comme des réparations et non des revenus. La branche AT-MP est en excédent financier. Les victimes d’accidents du travail et de maladies professionnelles doivent payer alors qu’elles n’ont rien demandé… Il faut absolument augmenter nos rentes ! »
« Pourquoi déduit-on le montant de la rente pour les prestations sociales ? On s’attarde trop sur l’AAH qui a été augmentée de façon exceptionnelle, alors que les rentes et pensions n’ont pratiquement pas évolué »
« J’ai une rente autour de 350 euros… On parle de minimum vieillesse ou autre, mais moi que dois-je dire avec le peu de rente que j’ai ? Je n’ai pas le droit au complément de l’AAH étant donné que mon épouse travaille. Pour moi, c’est une grosse perte de pouvoir d’achat, j’estime que cela devrait être revu.
« Jamais, on ne parle des rentes. On nous parle du seuil de pauvreté, mais je suis bien en dessous. Je n’ai jamais pu retrouver un travail compatible avec ma pathologie ! «
Votre expérience et votre avis sont essentiels, nous en avons besoin, exprimez vos revendications, nous les défendons !
*les photos présentes dans cet article sont des photos d’illustration
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